Trad’In Festival

Des hauts-alpins, un groupe émergeant et de l’énergie ! Venez les soutenir et en prendre plein la vue !

C’est un Punk très en colère, (et stupide) accompagné de deux employés « quasi musiciens » bénévoles proches du licenciement à chaque concert. Le groupe a sorti huit albums plus ou moins Bleu (tous les clichés du punk y passent), un paquet de clips plus ou moins diffusés, et pour couronner le tout, le « groupe » fait tout pour que la Fédération Internationale de Poésie Zéro se propage sur toute la terre afin qu’il y ait des Poésie Zéro dans toutes les villes du monde et qu’ils arrêtent définitivement les concerts.

« Peut-on être à la fois artiste et vedette de show business ? » – Didier Super.

Didier Super, c’est 1600 représentations en 18 ans et 1 000 000 de spectateurs dont certains étaient contents… Un « show métal » réservé à ceux qui comprennent le second, voire le sixième degré !

Grâce à cette ouverture d’esprit, Shantel est la face audible d’une Allemagne différente. Il est le premier à avoir injecté un son cosmopolite dans la culture pop locale.

Dans son cas, la migration peut être entendue et dansée. Il joue des trésors musicaux du sud-est de l’Europe, du Petit Orient ou de la Méditerranée dans un nouveau contexte, ce qui permet de faire l’expérience intuitive de la culture dans laquelle elle a vu le jour. Sa méthode est celle de l’échantillonnage culturel : il s’agit de sortir les choses de leur contexte et de les placer dans un nouveau contexte. La culture de club comme un concept de développement permanent, et non comme un musée où l’on répète éternellement la même chose – comme à Berlin, où des milliers de touristes attendent devant le Bergain pour pouvoir faire l’expérience du prévisible.

Billetterie :

Trois phases cette année :

EARLY BIRD : – 25 euros le soir

– 60 euros le Pass 3 soirs

NORMAL : – 28 euros le soir

– 65 euros le Pass 3 soirs

LATE et SUR PLACE : – 30 euros le soir

– 70 euros le Pass 3 soirs

Nux Vomica

Un groupe d’artistes d’art contemporain originaire du quartier de Saint Roch à Nice. Son nom provient du nom scientifique de la noix vomique, graine du vomiquier.

En 1989, ils sont les créateurs d’un lieu de vie et de culture appelé le Hangar St-Roch, puis d’un « Carnaval indépendant » fait avec la population du quartier St-Roch à Nice. De ce carnaval naît un répertoire de chansons en niçois (en occitan de Nice), en français, en italien. Le groupe vise à « promouvoir la culture niçoise dans le monde.

Goulamas’K délivre une musique à l’énergie dévastatrice et contagieuse. Son terrain de jeu, c’est le live, le concert, où il donne tout de son rock cuivré, rythmé, métissé et enraciné. Une lutte festive dans la rage et la poésie, où les instruments traditionnels s’invitent sans complexe aux côtés d’envolées métal. Ses 7 musiciens multi-instrumentistes passent du sax à la gralla, de la trompette au sac de gemecs, du clavier au bouzouki, le tout pimenté par une présence affirmée du flabiol. Le chant, sur des textes engagés en occitan, catalan et français et soutenu par des chœurs rassembleurs, est le maître d’œuvre de cette énergie brute et contagieuse. Avec plus de 20 ans de boulègue, Goulamas’K est un groupe incontournable de la scène occitane.

La Yegros est une chanteuse de Buenos Aires, mais sa famille est originaire des climats tropicaux des forêts tropicales du nord de l’Argentine, à la frontière du Brésil. Sa musique est une combinaison explosive de l’urbain et du folklorique : dub chamamé, mélangé avec des coplas funky et des raps de cumbia qui font danser le public international.

Le peuple de l’herbe est un groupe hip-hop-electro formé en 1997. Leur marque de fabrique : l’utilisation de voix samplées, extraites de films ! Leur dixième album “TEN” sortira le 22 mars prochain ! Entre cabotages hip-hop et navigations punky-noisy-pop-rock, 10, le dixième opus du cosmopolite Peuple de l’Herbe s’avère aussi prodigieux que déroutant.

Mélange de rythmes européens et africains, la batucada est à l’image du métissage du Brésil : riche ! Son caractère festif la fait s’imposer peu à peu comme l’orchestre de choix des défilés et autres manifestations.

Billetterie :

Trois phases cette année :

EARLY BIRD : – 25 euros le soir

– 60 euros le Pass 3 soirs

NORMAL : – 28 euros le soir

– 65 euros le Pass 3 soirs

LATE et SUR PLACE : – 30 euros le soir

– 70 euros le Pass 3 soirs

Bal gratuit pour enfants avec Humpty Dumpty – 17H

Un groupe d’artistes d’art contemporain originaire du quartier de Saint Roch à Nice. Son nom provient du nom scientifique de la noix vomique, graine du vomiquier.

En 1989, ils sont les créateurs d’un lieu de vie et de culture appelé le Hangar St-Roch, puis d’un « Carnaval indépendant » fait avec la population du quartier St-Roch à Nice. De ce carnaval naît un répertoire de chansons en niçois (en occitan de Nice), en français, en italien. Le groupe vise à « promouvoir la culture niçoise dans le monde.

Dévoilée le jour J.

La Yegros est une chanteuse de Buenos Aires, mais sa famille est originaire des climats tropicaux des forêts tropicales du nord de l’Argentine, à la frontière du Brésil. Sa musique est une combinaison explosive de l’urbain et du folklorique : dub chamamé, mélangé avec des coplas funky et des raps de cumbia qui font danser le public international.

Impossible de ranger Orange Blossom dans une boîte quand bien même elle contiendrait le monde, car Orange Blossom va bien plus loin que de “la musique du monde”. Électro alors ? Idem. Orange Blossom est la vision de Carlos Robles Arenas, un compositeur mexicain basé à Nantes qui a été piocher dans la tradition turque, égyptienne, malienne, sénégalaise et cubaine, avec des voix chantées en arabe, persan et portugais pour offrir au monde un quatrième album de musique actuelle, limpide et mystérieux à la fois. Attirants comme un chant de sirène, ces treize nouveaux morceaux depuis dix ans nous baladent entre un dance floor déchaîné et une salle de méditation sans aucune contradiction. Si la beauté avait une bande son, il y aurait des morceaux d’Orange Blossom dedans.

La Ruda Salska s’invente en 1993 à Saumur, le nom inspiré d’une ville polonaise désigne l’idée d’allier rock, salsa et ska mais c’est ce qu’on appelle plus simplement du rock alternatif et dans la cave où ça répète il y a des affiches de « La Mano » et des « Specials ». La Ruda trouve toute son envergure sur scène. Ses concerts sont portés par une énergie rare et une communion fiévreuse avec le public. En 20 ans d’existence elle a réalisé plus de 1000 concerts, joué dans les salles les plus obscures comme dans les plus réputées, participé aux plus grands festivals en France bien sûr mais aussi dans toute l’Europe comme au Canada, en Chine ou au Japon. Le groupe a aujourd’hui 30 piges mais croyez-nous restent l’instinct du meilleur et l’enthousiasme violent. Alors c’est dit ! La Ruda jouera sa partie telle qu’elle a toujours été et telle qu’elle sera toujours… Dans l’envie et dans l’envoi. Soyez les bienvenus !

Billetterie :

Trois phases cette année :

EARLY BIRD : – 25 euros le soir

– 60 euros le Pass 3 soirs

NORMAL : – 28 euros le soir

– 65 euros le Pass 3 soirs

LATE et SUR PLACE : – 30 euros le soir

– 70 euros le Pass 3 soirs